Djibouti

A peine arrivé en voiture d’Éthiopie, Djibouti me fait une drôle d’impression: probablement car le douanier qui contrôle nos papiers à la frontière a lourdement abusé du khat, la drogue locale, et que je mets bien 5 minutes à comprendre qu’il nous parle en français. En regardant de plus près les djiboutiens aux alentours, il semble que la majorité d’entre eux soit dans le même état. Chaude ambiance !

En reprenant la voiture, c’est le paysage brûlé qui impressionne. Un désert de cailloux, aride, où seuls quelques rares arbres semblent vouloir difficilement persister. Pourtant, il a plu récemment et d’après les locaux,  le paysage est plus vert que d’habitude.

Dans la capitale, elle aussi nommée Djibouti, l’ambiance est décontractée. Le fait qu’une partie de la population ne travaille que le matin donne un air général de colonie de vacances. Le pays fait ainsi une excellente halte pour les amoureux de plages et de sports nautiques ; il est seulement regrettable que les djiboutiens n’apprécient que peu être pris en photo. Sur 6 jours, la galerie de portraits est forcément un peu restreinte (2013)

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